lundi 30 juin 2008

Mai 1935: La flotte française en visite en Italie et en Yougoslavie

Les 5e et 7e divisions légères de la 1ère escadre française, sous le commandement de l’amiral Mouget, accomplissent en mai 1935 un périple d'amitié en Méditerranée.
Elles comprennent quelques-unes des plus belles unités de la flotte française, croiseur Algérie, Tourville et Dupleix, contre-torpilleurs Le Tartu, Albatros, Chevalier-Paul, Gerfaut, Vautour et Aigle.

Les unités navales françaises à Venise.

La réception des princes de Piémont à bord du croiseur amiral Algérie.
Au-dessous de la catapulte et au-dessus du tube lance-torpille, on remarque la princesse Marie-José de Piémont et l’amiral Mouget, commandant de la délégation française.
Les officiers commandants, en marge des festivités, ont été «reçus en audience par le roi, le duce et le pape».

La princesse Olga, femme du prince régent Paul, reçue à bord du contre-torpilleur Le Tartu.

A Belgrade, dans les jardins du palais royal, le prince régent Paul passe en revue un détachement de marins français.
C’est un accueil triomphal que l’escadre française a trouvé en Yougoslavie. En effet, «Quant à la France, son souvenir est particulièrement vivant parmi toute la population du littoral. […] glorieux faits d’armes des fusillés marins du commandant Picot qui, en 1915, participèrent à la défense de Belgrade… exploit du torpilleur Commandant-Dory qui, dans la nuit du 31 décembre 1915, parvint, malgré le péril des sous-marins autrichiens, à aborder sur la côte albanaise pour sauver l’armée serbe en retraite…»

Mai 1935: La flotte française en visite en Italie et en Yougoslavie

Les 5e et 7e divisions légères de la 1ère escadre française, sous le commandement de l’amiral Mouget, accomplissent en mai 1935 un périple d'amitié en Méditerranée.
Elles comprennent quelques-unes des plus belles unités de la flotte française, croiseur Algérie, Tourville et Dupleix, contre-torpilleurs Le Tartu, Albatros, Chevalier-Paul, Gerfaut, Vautour et Aigle.

Les unités navales françaises à Venise.

La réception des princes de Piémont à bord du croiseur amiral Algérie.
Au-dessous de la catapulte et au-dessus du tube lance-torpille, on remarque la princesse Marie-José de Piémont et l’amiral Mouget, commandant de la délégation française.
Les officiers commandants, en marge des festivités, ont été «reçus en audience par le roi, le duce et le pape».

La princesse Olga, femme du prince régent Paul, reçue à bord du contre-torpilleur Le Tartu.

A Belgrade, dans les jardins du palais royal, le prince régent Paul passe en revue un détachement de marins français.
C’est un accueil triomphal que l’escadre française a trouvé en Yougoslavie. En effet, «Quant à la France, son souvenir est particulièrement vivant parmi toute la population du littoral. […] glorieux faits d’armes des fusillés marins du commandant Picot qui, en 1915, participèrent à la défense de Belgrade… exploit du torpilleur Commandant-Dory qui, dans la nuit du 31 décembre 1915, parvint, malgré le péril des sous-marins autrichiens, à aborder sur la côte albanaise pour sauver l’armée serbe en retraite…»

dimanche 29 juin 2008

Supply ship

Le port de Stavanger accueille de nombreux navires de l'offshore. Ici, le supply Volstad Supplier.
Supply vessel Volstad Supplier berthed in Stavanger (Norway).

L'étiquette (à bagage) du France

Cherchant tout autre chose, nous sommes tombés sur une pincée d’étiquettes à bagages (fabriquées aux Etats-unis) utilisées sur le France. De là à se demander combien de milliers de ces étiquettes élégantes traînent encore dans des tiroirs, il n’y avait qu’un pas que voilà franchi !

L'étiquette (à bagage) du France

Cherchant tout autre chose, nous sommes tombés sur une pincée d’étiquettes à bagages (fabriquées aux Etats-unis) utilisées sur le France. De là à se demander combien de milliers de ces étiquettes élégantes traînent encore dans des tiroirs, il n’y avait qu’un pas que voilà franchi !

samedi 28 juin 2008

Bateau pilote norvègien / Norwegian pilot-boat

Nous avons déjà évoqué les bateaux pilotes. Voici un cliché du bateau-pilote norvègien LOS 080 basé à Honningsvag, quittant Queen Victoria.


Here is a picture showing norwegian pilot-boat LOS 080, Honninsvag-based, leaving Queen Victoria.

vendredi 27 juin 2008

Le retour du Héros ou cocorico sous-marin

«La magnifique croisière des sous-marins Le Glorieux et Le Héros (1500 tonnes en surface et 2000 tonnes en plongée), s’est achevée à Toulon le 16 mai 1935»
Commandés respectivement par le capitaine de corvette E. Derrieu et le lieutenant de vaisseau E.-H. Carré, ils venaient de parcourir un périple de 129 jours et près de 30000 kilomètres, qui les avait menés au Tonkin, à Saïgon et Haïphong. «C’est un record qu’il convenait de signaler et d’exalter, aucun sous-marin étranger n’ayant jusqu’ici entrepris une traversée de cette dimension en temps et en distance.» Cocorico !

Le retour à Toulon du sous-marin Le Héros (L’Illustration n°4814 de 1935)

Le retour du Héros ou cocorico sous-marin

«La magnifique croisière des sous-marins Le Glorieux et Le Héros (1500 tonnes en surface et 2000 tonnes en plongée), s’est achevée à Toulon le 16 mai 1935»
Commandés respectivement par le capitaine de corvette E. Derrieu et le lieutenant de vaisseau E.-H. Carré, ils venaient de parcourir un périple de 129 jours et près de 30000 kilomètres, qui les avait menés au Tonkin, à Saïgon et Haïphong. «C’est un record qu’il convenait de signaler et d’exalter, aucun sous-marin étranger n’ayant jusqu’ici entrepris une traversée de cette dimension en temps et en distance.» Cocorico !

Le retour à Toulon du sous-marin Le Héros (L’Illustration n°4814 de 1935)

jeudi 26 juin 2008

Démantèlement de l’ancien Clemenceau

Il semblerait que la société britannique Able UK ait obtenu le contrat du démantélement de la coque Q 790, plus connue sous le nom de Clemenceau. Les travaux se feraient dans le nord de l'Angleterre, à Hartlepool, au chantier "Teesside Environmental Reclamation and Recycling Centre" (TERRC).

Cette information est donnée sur le très sérieux site www.shipspotting.com qui recense de très nombreuses photos de qualité montrant tous types de navires.

Démantèlement de l’ancien Clemenceau

Il semblerait que la société britannique Able UK ait obtenu le contrat du démantélement de la coque Q 790, plus connue sous le nom de Clemenceau. Les travaux se feraient dans le nord de l'Angleterre, à Hartlepool, au chantier "Teesside Environmental Reclamation and Recycling Centre" (TERRC).

Cette information est donnée sur le très sérieux site www.shipspotting.com qui recense de très nombreuses photos de qualité montrant tous types de navires.

mardi 24 juin 2008

Le chalutier Duc de Normandie dans les jetées de Fécamp


Le Duc de Normandie, orgueil des armements Ledun et fils dans le chenal à la sortie de Fécamp.



Longueur 46 m, largeur 8,25 m, tirant d’eau 5,20m, moteur de 750 ch, vitesse 12 nœuds.

Le Duc de Normandie a sombré au large de Zeebrugge le 21 février 1951, faisant 23 disparus dont deux familles de 3 frères et une autre de deux, et un seul survivant, mon père.

Le chalutier Duc de Normandie dans les jetées de Fécamp


Le Duc de Normandie, orgueil des armements Ledun et fils dans le chenal à la sortie de Fécamp.



Longueur 46 m, largeur 8,25 m, tirant d’eau 5,20m, moteur de 750 ch, vitesse 12 nœuds.

Le Duc de Normandie a sombré au large de Zeebrugge le 21 février 1951, faisant 23 disparus dont deux familles de 3 frères et une autre de deux, et un seul survivant, mon père.

Statsraad Lehmkuhl

Toujours dans les eaux norvègiennes, plus précisément à Stavanger, voici le magnifique Statsraad Lehmkuhl, construit en 1914.


Pour plus d'informations, http://www.lehmkuhl.no.

Statsraad Lehmkuhl

Toujours dans les eaux norvègiennes, plus précisément à Stavanger, voici le magnifique Statsraad Lehmkuhl, construit en 1914.


Pour plus d'informations, http://www.lehmkuhl.no.

OLJEVERN 02

Le navire de service, Oljevern 02, lancé en 1978, est utilisé par les garde-côtes norvègiens comme bâtiment anti-pollution et baliseur.


Launched in 1978, Oljevern 02 is used by Norwegian coast-guard as oil-spill fighter and buoy tender.

lundi 23 juin 2008

L'Express Côtier

Christian ayant décidé, dans son précédent article sur ce blog, de nous emmener dans les mers froides, voici un cliché de Richard With, l'un des navires de la célébre ligne "Express Côtier" quittant le port d'Honningsvag, tout au nord de la Norvège.

L'Express Côtier

Christian ayant décidé, dans son précédent article sur ce blog, de nous emmener dans les mers froides, voici un cliché de Richard With, l'un des navires de la célébre ligne "Express Côtier" quittant le port d'Honningsvag, tout au nord de la Norvège.

Tromsoe (Norvège, Norway)

Voici encore un cliché de navire de sauvetage, cette fois-ci en Norvège dans le port de Tromsoe.


One more time, a SAR boat. At Tromsoe harbour, in Norway.

1958 : Les sous-marins atomiques sous la calotte glaciaire

Concordance des temps, alors que nous parlons beaucoup de la lutte pour le contrôle du passage du Nord-Ouest entre nations arctiques, me tombe sous la main ce numéro 140 de Sciences et Avenir, daté d’octobre 1957, qui semblait avoir résolu le problème.
En effet – après l’exploit de deux sous-marins nucléaires américains (à l’époque on les appelait sous-marins atomiques) qui avaient traversé le pôle nord sous la calotte glaciaire sur près de 3000 kilomètres, – le mensuel de vulgarisation scientifique n’hésitait pas à titrer « Les cargos sous-marins utiliseront la route polaire » et d’insister en sous-titre avec «Le glas a sonné pour les navires de surface» ou encore «En s’enfonçant dans la vallée sous-marine, large de 4 kilomètres, qu’il a découverte au large du détroit de Behring et en traversant sous la banquise l’Océan glacial arctique sur plus de 3000 kilomètres, le Nautilus n’a pas seulement ouvert une nouvelle voie maritime, il pourrait bien avoir ouvert également une nouvelle carrière au navire sous-marin : une pacifique carrière de cargo.»
Belle époque où l’on rêvait encore aux bienfaits du progrès… Cela nous vaut tout de même quelques belles photos du Nautilus et du Skate !

Le Skate a suivi un itinéraire empruntant le passage du Nord-Est et traversant la calotte d’ouest en est. Le Nautilus a parcouru un axe partant du détroit de Behring et coupant droit sous la calotte jusqu’au large du Groenland.
Le Nautilus n’a pas émergé au cours de son raid du pacifique à l’Atlantique. Le Skate a, lui, fait surface au voisinage du pôle.
Le Nautilus en évolution lors de sa première expédition polaire de préparation au raid.

Les trois premiers sous-marins atomiques américains.
Nautilus : longueur 95 mètres ; déplacement 3200 tonnes ; vitesse 30 nœuds.
Seawolf : longueur 90 mètres ; déplacement 2950 tonnes ; vitesse 26 nœuds.
Skate : longueur 75 mètres ; déplacement 2200 tonnes ; vitesse 30 nœuds.

1958 : Les sous-marins atomiques sous la calotte glaciaire

Concordance des temps, alors que nous parlons beaucoup de la lutte pour le contrôle du passage du Nord-Ouest entre nations arctiques, me tombe sous la main ce numéro 140 de Sciences et Avenir, daté d’octobre 1957, qui semblait avoir résolu le problème.
En effet – après l’exploit de deux sous-marins nucléaires américains (à l’époque on les appelait sous-marins atomiques) qui avaient traversé le pôle nord sous la calotte glaciaire sur près de 3000 kilomètres, – le mensuel de vulgarisation scientifique n’hésitait pas à titrer « Les cargos sous-marins utiliseront la route polaire » et d’insister en sous-titre avec «Le glas a sonné pour les navires de surface» ou encore «En s’enfonçant dans la vallée sous-marine, large de 4 kilomètres, qu’il a découverte au large du détroit de Behring et en traversant sous la banquise l’Océan glacial arctique sur plus de 3000 kilomètres, le Nautilus n’a pas seulement ouvert une nouvelle voie maritime, il pourrait bien avoir ouvert également une nouvelle carrière au navire sous-marin : une pacifique carrière de cargo.»
Belle époque où l’on rêvait encore aux bienfaits du progrès… Cela nous vaut tout de même quelques belles photos du Nautilus et du Skate !

Le Skate a suivi un itinéraire empruntant le passage du Nord-Est et traversant la calotte d’ouest en est. Le Nautilus a parcouru un axe partant du détroit de Behring et coupant droit sous la calotte jusqu’au large du Groenland.
Le Nautilus n’a pas émergé au cours de son raid du pacifique à l’Atlantique. Le Skate a, lui, fait surface au voisinage du pôle.
Le Nautilus en évolution lors de sa première expédition polaire de préparation au raid.

Les trois premiers sous-marins atomiques américains.
Nautilus : longueur 95 mètres ; déplacement 3200 tonnes ; vitesse 30 nœuds.
Seawolf : longueur 90 mètres ; déplacement 2950 tonnes ; vitesse 26 nœuds.
Skate : longueur 75 mètres ; déplacement 2200 tonnes ; vitesse 30 nœuds.

vendredi 20 juin 2008

La prise de Constantinople en 1453

Mehmed II Fatih (le Conquérant) est le neuvième sultan de l’empire ottoman. Il serait né en 1432 à Edirne (autrefois Andrinople), dans la Turquie européenne actuelle.
C’est la prise de Constantinople en 1453 qui lui valut son surnom de «Conquérant».
Ce qui nous intéresse ici, c’est la curieuse utilisation qu’il fit de sa marine pour emporter la capitale d’un Empire romain d’Orient vieux de 1125 ans (qui s’écroula en même temps que disparaissait dans la bataille son dernier empereur, Constantin XI).

Mehmed assiégea la ville, détruisant tout aux environs et enfermant la population dans ses murs. Le 19 avril, deux tours sur roues furent construites pour pouvoir franchir les murailles légendaires de la ville. La bataille devint sanglante et Mehmed se rendit compte que tant que sa marine n’entrait pas en jeu, la ville pourrait continuer à être soutenue par les navires vénitiens et génois. Il imagina alors, pour pénétrer dans la Corne d’Or, bien défendue à son entrée par un système de chaînes, de tirer les bateaux à terre sur la rive européenne pour les contourner (22 avril 1453). La marine ottomane se retrouva ainsi au milieu de la ville et bombarda ses murs depuis l’intérieur. Le mardi 29 mai 1453, l’attaque finale fut lancée. (source Wikipédia)

La prise de Constantinople en 1453

Mehmed II Fatih (le Conquérant) est le neuvième sultan de l’empire ottoman. Il serait né en 1432 à Edirne (autrefois Andrinople), dans la Turquie européenne actuelle.
C’est la prise de Constantinople en 1453 qui lui valut son surnom de «Conquérant».
Ce qui nous intéresse ici, c’est la curieuse utilisation qu’il fit de sa marine pour emporter la capitale d’un Empire romain d’Orient vieux de 1125 ans (qui s’écroula en même temps que disparaissait dans la bataille son dernier empereur, Constantin XI).

Mehmed assiégea la ville, détruisant tout aux environs et enfermant la population dans ses murs. Le 19 avril, deux tours sur roues furent construites pour pouvoir franchir les murailles légendaires de la ville. La bataille devint sanglante et Mehmed se rendit compte que tant que sa marine n’entrait pas en jeu, la ville pourrait continuer à être soutenue par les navires vénitiens et génois. Il imagina alors, pour pénétrer dans la Corne d’Or, bien défendue à son entrée par un système de chaînes, de tirer les bateaux à terre sur la rive européenne pour les contourner (22 avril 1453). La marine ottomane se retrouva ainsi au milieu de la ville et bombarda ses murs depuis l’intérieur. Le mardi 29 mai 1453, l’attaque finale fut lancée. (source Wikipédia)

jeudi 19 juin 2008

Les cathédrales des mers


Le Figaro vient de publier un numéro hors-série intitulé Les cathédrales des mers.
Cet excellent numéro spécial est très documenté et de manière originale. Il présente et illustre le développement récent, mais impressionnant par son étendue, du goût des Français pour les grands voiliers de tradition, dont certains sont entrés dans la légende.
Ce hors-série du Figaro accompagne les grands rassemblements de l’été à Rouen, Brest et Douarnenez qui seront suivis par des millions de passionnés.
La bibliographie de ce numéro met à l’honneur deux des publications de MDV Maîtres du Vent, le récent Voiles de légende de Gérard Fournier et le déjà classique Hommes et navires au Cap Horn de Jean Randier.

mercredi 18 juin 2008

L'Hermione a besoin de vous


Sur votre agenda
Le 28 juin à Rochefort, sur le bord de la Charente
Une grande journée de fête pour la mise à l’eau de la chaloupe de l’Hermione

RDV à 14 h sur le bord de la Charente, devant la Corderie Royale (côté pavillon sud), pour la mise à l’eau de la chaloupe, en présence d’Erik Orsenna et de Georges Pernoud.
A cette occasion, les trois annexes de l’Hermione - le petit canot, le grand canot et la chaloupe - navigueront sur la Charente pour une démonstration à la rame, et, si le temps le permet, à la voile. 36 rameurs et 3 barreurs sont nécessaires sur les trois unités.

Nous sommes heureux de relayer l’appel de l’association Hermione-La Fayette dont le beau projet a besoin de votre aide.
«Vous connaissez sans doute l’Hermione, ce projet de reconstruction à l'identique de la frégate du même nom qui emmena La Fayette en 1780 en Amérique annoncer à George Washington l’engagement de la France aux côtés des Américains pour les aider à gagner leur indépendance.
La coque de la frégate sera bientôt terminée, et à Rochefort, on travaille déjà aux travaux de mâture et d’aménagement, tout cela dans les règles de l’art de l’époque. Le chantier, nous en sommes maintenant convaincus, ira à son terme car, sur un budget total de construction de 17 millions d'euros, nous en avons aujourd'hui environ 15 millions d'assurés. Mais les Américains - qui vont surtout financer le voyage - nous attendent à Boston mais aussi à New York et dans bien d’autres ports dans quatre ans et le bouclage du financement du chantier est aujourd'hui crucial si nous voulons pouvoir mettre à l’eau l’Hermione en 2011 pour traverser l’Atlantique l’année suivante. A côté de l’apport des collectivités locales et de partenaires privés, le soutien des visiteurs ( 250 000 environ chaque année) et des adhérents de l'association est pour nous absolument déterminant pour relever ce défi. C’est pour cela que je prends contact avec vous, pour nous aider à aller jusqu'au bout de ce projet un peu fou que nous avons lancé il y a plus de 10 ans pour redonner vie à un patrimoine maritime totalement disparu.
Notre objectif est de porter de 4 000 à 10 000, dès 2008, le nombre d’adhérents à l’association Hermione-La Fayette, qui pilote le projet depuis ses débuts.

En vous rendant sur le site, vous pourrez vous inscrire en ligne (cotisation annuelle de base de 25 euros). Cette adhésion vous permettra notamment de visiter le chantier gratuitement autant de fois que vous le souhaiterez durant l'année et de faire bénéficier votre famille ou vos amis de réductions sur le prix des visites.

lundi 16 juin 2008

Bateaux de pêche en Syrie

Il y a quelques mois on pouvait lire dans les guides touristiques que «Tartous est une ville pleine de charme. La vieille ville, le petit port de pêche et les cafés lui donnent une atmosphère bien particulière et une ambiance méditerranéenne ». Rien d’étonnant pour l’un des ports de Syrie dont la seule ouverture marine se trouve sur la Méditerranée. La pêche est importante mais suffit à peine à répondre à la demande du marché intérieur. C’est pourquoi, à Tartous, deuxième port syrien en importance, des travaux pharaoniques ont été entrepris pour assurer un abri permanent à la petite centaine d’unités de pêche que compte le port. Travaux au détriment de l’esthétique du lieu, devenu un chantier permanent. Il faudra ensuite penser à moderniser la flotte !




Bateaux de pêche en Syrie

Il y a quelques mois on pouvait lire dans les guides touristiques que «Tartous est une ville pleine de charme. La vieille ville, le petit port de pêche et les cafés lui donnent une atmosphère bien particulière et une ambiance méditerranéenne ». Rien d’étonnant pour l’un des ports de Syrie dont la seule ouverture marine se trouve sur la Méditerranée. La pêche est importante mais suffit à peine à répondre à la demande du marché intérieur. C’est pourquoi, à Tartous, deuxième port syrien en importance, des travaux pharaoniques ont été entrepris pour assurer un abri permanent à la petite centaine d’unités de pêche que compte le port. Travaux au détriment de l’esthétique du lieu, devenu un chantier permanent. Il faudra ensuite penser à moderniser la flotte !